Exposition du 25 mai au 2 juin 2018
Espace Léon Coeur Marais
3, rue Portefoin – 75003 Paris

Vernissage filmé par Catherine Aventurier pour BeauxArts.com

Avec : Julie Atlas Muz, Son Of A Pitch, Paola Hivelin, Sophie Rokh, Sunny Buick, Vivien Bertin, Lorenzö, Ciou, Mina Mond, Gaële Lagacherie, Émilie Jouvet, Mélanie Török, Sandrine Elberg, LaBaronne O, Fréderic Betsch, Arôm.

«  CERTAINES
ŒUVRES VIENNENT
NOUS PERCUTER
EN PLEIN CŒUR »

« Une véritable expérience qui mixe les esthétiques et converge dans une même direction, celle du respect de soi et de l’autre, les deux allant de pair, celle d’une empathie bienveillante pour le monde, humain, animal et végétal.»

Extrait de l’article de Marie Plantin pour Pariscope
Le 28 mai 2018

Gang Of Witches —
We are Gang Of Witches

Écouter sur :

Réalisation : Miikka Lommi
Composition : MC Chaton (Sophie Rokh)
Paroles et chant : W (Paola Hivelin), MC Chaton
Arrangements : Son Of A Pitch
Basse : Mélanie Török
Ukulélé : Sunny Buick
Enregistrement et mixage : Eddy Rateni
Mastering : Orel Thunder
Visuel cover : Miikka Lommi

Gang Of Witches —
Venus’ Revolution

Langue : Français
Date de parution : Juin 2018
Format : 21×28 cm
Nombre de page : 228 pages
Bonus : Vinyle 45 tours
Prix : €180.00

Acheter l’édition 2018

Dans cette deuxième édition, dédiée à l’archétype de Vénus et à la planète éponyme, GANG OF WITCHES célèbre une féminité puissante, singulière et affranchie du sexe biologique. Le Gang y aborde également les limites de la structure patriarcale et capitaliste de nos sociétés, ainsi que l’urgence écologique. Comme à l’accoutumée chez GOW, la facture de l’ouvrage est précieuse, conférant au livre et au disque vinyle qui l’accompagne une dimension d’œuvre d’art à part entière. Le Gang délivre-là un bijou rare, limité à 300 exemplaires numérotés.

Consulter l’édition 2018 – FR | EN

What
they say

« On salue l’initiative de ces femmes et plus encore la mise en œuvre de ce projet formidable auquel on souhaite longue vie. Vive les sorcières ! Vive le Gang Of Witches ! »

Extrait de l’article de Marie Plantin pour Pariscope
Le 28 mai 2018